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Channel: RTBF Vidéo: zoom arrière
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C'est à voir - Les bâtisseurs d'ans pires - travaux inutiles "LES BATISSEURS D'ANS PIRES ?" II s'agit en fait d'un prolongement et d'un approfondissement de la série de Jean-Claude Defossé sur les grands travaux inutiles et les gaspillages de l'Etat diffusé au JT chaque dimanche depuis 5 mois. L'émission "C'est à Voir" comportera un résumé des séquences passées au JT mais aussi une tentative d'explication et d'évaluation chiffrée du coût de ces gaspillages. II sera aussi question des remarques de la Cour des Comptes, à propos de certains travaux publics qui mettent en évidence d'autres" gaspillages des pouvoirs publics. Le Ministre des Travaux Publics, Louis Olivier répondra longuement aux questions des journa1istes. Jean-Claude Defossé : Attention : Travaux ! Mais d'où est venue l'idée ? - "Pour JT 2, en 80, je m'étais occupé d'un sujet du même genre à propos de l''échangeur de Drogenbos mais la séquence avait suscité peu de réactions. " "Comme l'actualité brûlante est moins envahissante l'été j'ai réfléchi à un thème qui sortirait un peu de l'ordinaire. Je me suis posé la question : quelques années après, qu'est devenu le fameux échangeur de Drogenbos. De là à me dire qu'il y avait sans doute d'autres cas à évoquer, il n'y avait qu'un pas." Et c'est ainsi qu'après celui de Drogenbos, l'échangeur (côté Bruxelles) de l'autoroute d'Anvers puis le "smeerptjp » le long du Canal Albert, le pont d'Estampuis, la coupure de 800 m de l'autoroute qui devait ralier Tournai à Courtrai un pont et une route en cul-de-sac à Louvain-La-Neuve, la fin de l''autoroute Namur-Bruxelles, la largueur de l'autoroute Bruxelles-Malines-Anvers et un autre pont inutile au-dessus du Canal Albert d Genk ont eu les honneurs d'un commentaire dans le J.T." Comment Jean-Claude Defossé découvre-t-il ces cas intéressants ? - "Plus je m'en occupe, plus j'en trouve. Sans doute parce que j'y pense alors qu'autrefois, je côtoyais ces sites bizarres sans m'en rendre compte". "J'ai trouvé" l'affaire du pont de Genk il y a 5 ans dans un journal. Je suis retourné voir sur place. Rien n'a changé." "Mais à présent, une dynamique s'est créée. Je reçois des lettres de personnes me signalant des travaux superflus." "Toutefois, je n'y donne suite que dans la mesure où il s'agit de réalisations importantes (disons de quelques millions). Je vérifie évidemment les données en me posant la "question de savoir si ce qui apparait inutile aujourd'hui ne sera pas justifié" dans un délai prévisible. Je ne traite donc que des réalisations qui ne servent strictement à rien !" "Il faut préciser que je n'entends pas du tout, dans ces séquences, faire de l'information "poujadiste" . J'ai une trop haute idée, au contraire, du rôle que jouent les pouvoirs publics pour prendre à mon compte les Equations simplistes : public, gaspillage, privé, économie. "Mais un journaliste se doit de garder les yeux ouverts sur ces dépenses qui auraient pu servir à satisfaire des besoins réels, surtout en temps de crise."

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Inédits, la presse socialiste : Le Vooruit et Le peuple Inédits : la presse socialiste le VOORUIT et LE PEUPLE : Cette émission est particulière à plus d'un titre. D'abord contrairement à notre habitude, il ne s'agit pas de films de famille mais de réalisations professionnelles oubliées, rejetées ou "à la dérive". Une sorte de film "orphelin ". Ce programme vous propose également une étonnante page d'histoire de la presse belge à travers une rencontre de deux documents exceptionnels sauvés il y a quelques années à peine.de la destruction. 1. En 1933, le journal gantois "Vooruit" veut accroitre le nombre de ses lecteurs. Attentive aux nouvelles formes d'expression, la direction demande à un cinéaste hollandais de réaliser un film sur la fabrication du journal et son engagement social. Le reportage évoque la crise, les industries gantoises, un discours du père Anseele etc... Un témoignage émouvant sur le combat politique et sa signification dans les années de crise, commenté par l'assistant réalisateur, depuis décédé. Peu d'années après, la guerre éclate. On oublie le film... Le producteur et le journal disparaissent. II faudra attendre plus de cinquante ans pour que des chercheurs retrouvent cette évocation dans les ruines du bâtiment du Vooruit à Gand. 2. De même, dans les années cinquante, la direction du journal "Le Peuple" demande à un cinéaste bruxellois de réaliser un film afin d'accroitre le nombre des lecteurs. Le document évoque la fabrication, l'engagement socio-politique du journal. Du cinéma au sport, des chroniques féminines aux réalisations sociales, le journal affirme son discours militant et exalte les métiers de la presse. Ce film sera sauvé un peu par hasard dans les années septante lors du déménagement du Peuple. Plus personne ne s'en souvenait... Jean-Louis Lhoest et Alphonse Thysman apportent leur temoignage a cette évocation. Depuis, les discours ont sensiblement changés mais la confrontation des deux films sonores nous font découvrir à des époques charnières de notre histoire, le discours et l'activité des deux journaux qui furent dès l'origine .en 1985, les portes paroles officiels du Parti Ouvrier Belge. Une émission conçue et réalisée par André Huet, produite par Daniel Vos.

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Tiré à part - Vivre à Budapest

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Journée internationale de la femme Emission de 2008. A l'occasion de la Journée internationale de la femme le 8 mars, Zoom arrière revisite quelques reportages que la RTB/RTBF a consacrés à ces " Damnées de la terre " qu'étaient (que sont) les ouvrières d'usines. Celles de la FN de Herstal (avec un numéro de 9.000.009 signé André Dartevelle et Michel Stameschkine 13/09/1974) et celles des gaufreries " Champagne " à Moustier sur Sambre (avec autre numéro de 9.000.009 signé André Dartevelle , Alain de Streel et Gérard Corbiau 06/12/1974), toutes en grève au pour améliorer leur condition d'existence. Les invitées : Estelle Krzeslo : qui était sur les barricades de la FN dans les années 70 et dans le reportage diffusé…Aujourd'hui sociologue du travail à l'Université Libre de Bruxelles. Eliane Vogel : juriste internationale féministe, professeur émérite à l'Université Libre de Bruxelles.

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A suivre - Au Monastère de la rue Emission de 2007. Suite au décès de l'abbé Pierre, Claude Emonts, président du CPAS de Liège et Jacques Van Der Biest, curé des Marolles sont les invités de Zoom Arrière. Aujourd'hui, la pauvreté reste une réalité et ils y sont sensibilisés au quotidien. Non découragés, chacun à leur manière, ils tentent de trouver une place dans la société pour les exclus. Leur objectif ? Une société plus solidaire. « Pas d'eau, pas de gaz, pas d'électricité, pas d'ego » rappelle le curé des Marolles. L'archive choisie date de 1985 : « Au monastère de la rue », réalisé par Marie-Hélène Rabier et André Dartevelle. Le thème : trois moines franciscains vivant dans la rue parmi les SDF, ont fait voeux de pauvreté. Ils refusent de recevoir de l'argent et ne donnent pas d'aide matérielle, développant un rapport non militant mais communiant avec la pauvreté. Ces moines sont itinérants et les auteurs du document les ont rencontrés lors de leur passage à Bruxelles. Sur le plateau, des réactions face à l'engagement de ces hommes. Le débat lancé, les avis divergent et se complètent entre le « politique » Claude Emonts qui rappelle la nécessité de l'implication des pouvoirs publics et le « chrétien » Jacques Van Der Biest, témoin de l' «intérieur» du fléau de la misère qui, malgré les apparences, augmente de jour en jour. « Le vrai secours aux misérables, c'est l'abolition de la misère ». Victor Hugo

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Flash sur les coulisses de la TV Emission de 2008. Ce soir " Zoom arrière " remontera le temps jusqu'en 1963, pour lever un coin de voile sur la célébration du 10ème anniversaire de notre télévision de service public. Avec " Flash sur les coulisses de la télévision " nous nous laisserons guider par Jacques Careuil et André Berger qui nous initieront aux techniques de la télévision de l'époque, techniques qui d'ailleurs préfigurent et ressemblent beaucoup à celles d'aujourd'hui. Un voyage ludique du côté des coulisses de l'exploit, des secrets de fabrique… et de la fierté éprouvée pour les dix ans de la petite boîte magique. Le but du réalisateur André Berger est de montrer à nos jeunes amis "l'envers du décor". L'accent sera mis sur le côté technique. L'élaboration entière d'une émission de TV sera dévoilée, et nous pourrons assister aux répétitions d'un "dramatique", comme d'une séance publique,le car télécinéma sera également présent et l'activité précieuse de l'équipe technique du laboratoire sera evoquée. deuxième extrait d'archive : Aujourd'hui on fête le premier millionième téléspectateur en Belgique A l'occasion de l'inscription du Millionième Téléspectateur belge, les deux télévisions du pays Rtbf et Vrt offrent à leurs amis d'hier et d'aujourd'hui un spectacle de gala qui comprendra différents « flashes »- de reportage en rapport avec l'évènement du jour : Quels furent les premiers téléspectateurs belges ? Dans chaque province, qu'est-ce qui a poussé les nouveaux téléspectateurs à acheter un poste de Télévision ? Les invités d'Elodie en studio sont Jean-Jacques Jespers, Journaliste et Louis Boccard, ancien Directeur Photo. Invités: Jean-Jacques Jespers : Journaliste Louis Boccard : Directeur Photo

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Spécial Strip-tease Emission de 2008. Zoom arrière revient sur l'émission "Strip-tease" arrêtée en 1992 mais qui reste la dernière émission culte de la Rtbf à ce jour. Cette fois pas de réalisateur sur le plateau mais deux hommes de l'ombre, du terrain, les cameramen Jean-François Boucher et Michel Techy. Ils expliqueront ce que cela représentait de tourner un de ces reportages où il fallait "apprivoiser" le sujet, comment on s'immergeait dans l'univers traité pour amener les protagonistes à finalement oublier la caméra.

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Focus Frédéric François Emission de 2008 Hommage à Frédéric -dit "Freddy"- François, journaliste qui a révolutionné l'information à la RTBF en tendant le micro aux hommes politiques, jusque là protégés par les conférences de presse ex-caethedra et les dépêches d'agence. Grand reporter également, il a fait découvrir un Congo fraîchement indépendant. De Mitterand à Mobutu, du 16 rue de la Loi à la Guerre du Golfe, retours sur ce parcours exceptionnel qui a influencé le journalisme d'aujourd'hui. Dérangeant, insistant, pince-sans-rire, Freddy François n'a rien perdu de son piquant sur le plateau de Zoom Arrière. Invité : Frédéric François : journaliste

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Le statut d'artiste Emission de 2008. Le statut des artistes belges a-t-il évolué ces dernières années ? C'est la question que posent les archives diffusées cette semaine dans Zoom Arrière : des extraits d'émissions de la fin des années 70, mais également d'autres images plus récentes, qui témoignent des difficultés rencontrées par nos artistes pour être reconnus, pouvoir vivre de leur talent, pouvoir vivre tout court. Extraits de : XXème siècle, Christian Druitte a choisi, pour ouvrir le dossier de la condition des artistes en Belgique, d'inviter des témoins plutôt que des spécialistes. C'est ainsi que nous verrons en studio des artistes et des comédiens belges -Salvatore Adamo, André Bialek et Jacques Canetti, producteur de disques, pour le métier de chanteur, Jean Nergal, René Haxnaux, Anne Marev, Eve Bonfanti et Alexandre Von Sivers pour le monde du théâtre- qui témoigneront des réalités de leurs métiers. Chacun des chapitres de ce dossier sera amené par une séquence en forme de sketches et des témoignages d'artistes belges : Suzy Falk, Raoul Demanez, Vanderie, Claudine Charles, Altenloh, Fernand Abel et Rene Haxnaux. Qu'est-ce qu'un comédien ? L'artiste est-il un être d'exception ? L'histoire des comédiens, la formation professionnelle, l'engagement des comédiens, le chômage, la vieillesse, le comédien et l'administration. Extrait de Oeuvres en chantier : Pascale Fonteneau écrit des romans policiers pour la prestigieuse Série noire (Gallimard). Il y a quelques années, alors qu'elle était au chômage, son éditeur décide de publier un de ses romans et lui verse ses droits d'auteur (somme modeste, car madame Fonteneau n'est pas un écrivain « médiatique » et ses romans ne sont pas des best-sellers). L'ONEM se retourne alors contre elle, lui reprochant non pas la perception de droits d'auteur mais d'avoir écrit pendant une période de chômage sans « biffer de sa carte de contrôle les jours d'écriture ». Cette affaire, signale également l'absence totale de statut social et fiscal des artistes dans notre pays. Portrait qui dévoile les multiples facettes de Pascale Fonteneau : le plaisir de vivre plusieurs vies, le goût prononcé pour l'envers du décor, l'intérêt pour le politique, la nécessité d'une immersion dans les réalités quotidiennes, l'affection pour le monde noir... Elle s'exprime également sur les faits qui lui sont reprochés. Outre la logique de l'argumentation, MICRO POLAR a également voulu donner l'impression qu'en regard du vécu quotidien d'un créateur, les reproches d'une administration comme l'ONEM apparaissent complètement déplacés, inadéquats et absurdes. Mentionnons en passant que, si Pascale FONTENEAU a aujourd'hui retrouvé du travail, c'est précisément parce qu'elle a écrit et s'est fait éditer, ce qui dans le domaine socio-culturel est plus efficace pour retrouver du travail que d'arpenter les couloirs de l'ONEM 40 heures par semaine...

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Si vous saviez - La loterie nationale A partir de ce mois de février 1978, la Belgique, par l'intermédiaire de la Loterie Nationale, inaugure un nouveau jeu d'argent qui, déjà, fait fureur chez nos voisins : le lotto. Le projet a déjà suscité un certain nombre de vives critiques, d'aucuns jugeant immoral que l'Etat (à qui la Loterie Nationale rapporte déjà 3 milliards chaque années) organise ainsi lui-même des jeux d'argent d'ailleurs interdits dans le secteur privé. A cet argument, les défenseurs de cette initiative répondent que déjà 150.000 Belges environ pratiquent, chaque week-end ce type de jeu dans les villes frontières françaises et allemandes. De plus, ajoutent-ils, mieux vaut voir ces jeux gérés et contrôles par l'Etat que confias à des intérêts privés. Toutefois, ce qui inquiète également les adversaires du Lotto, c'est que si, dans un premier temps, les mises seront limitées à 100 F maximum, il est prévu, dans une seconde phase, d'autoriser des mises s'élevant jusqu'à 30.000 F. Pour mieux faire comprendre le fonctionnement du Lotto et les chances d'y gagner, l'équipe': d' "Autant Savoir" a invité, dans cette émission, un mathématicien qui établira, par un calcul des probabilités, le pourcentage de chances de gagner. Une des caractéristiques du Lotto, en effet, est d'apporter des gains qui peuvent être fabuleux à un très petit nombre de gagnants. Une émission de Claude Van Engeland et Jacques Jacobs.

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C'est à voir - Les bâtisseurs d'ans pires - travaux inutiles "LES BATISSEURS D'ANS PIRES ?" II s'agit en fait d'un prolongement et d'un approfondissement de la série de Jean-Claude Defossé sur les grands travaux inutiles et les gaspillages de l'Etat diffusé au JT chaque dimanche depuis 5 mois. L'émission "C'est à Voir" comportera un résumé des séquences passées au JT mais aussi une tentative d'explication et d'évaluation chiffrée du coût de ces gaspillages. II sera aussi question des remarques de la Cour des Comptes, à propos de certains travaux publics qui mettent en évidence d'autres" gaspillages des pouvoirs publics. Le Ministre des Travaux Publics, Louis Olivier répondra longuement aux questions des journa1istes. Jean-Claude Defossé : Attention : Travaux ! Mais d'où est venue l'idée ? - "Pour JT 2, en 80, je m'étais occupé d'un sujet du même genre à propos de l''échangeur de Drogenbos mais la séquence avait suscité peu de réactions. " "Comme l'actualité brûlante est moins envahissante l'été j'ai réfléchi à un thème qui sortirait un peu de l'ordinaire. Je me suis posé la question : quelques années après, qu'est devenu le fameux échangeur de Drogenbos. De là à me dire qu'il y avait sans doute d'autres cas à évoquer, il n'y avait qu'un pas." Et c'est ainsi qu'après celui de Drogenbos, l'échangeur (côté Bruxelles) de l'autoroute d'Anvers puis le "smeerptjp » le long du Canal Albert, le pont d'Estampuis, la coupure de 800 m de l'autoroute qui devait ralier Tournai à Courtrai un pont et une route en cul-de-sac à Louvain-La-Neuve, la fin de l''autoroute Namur-Bruxelles, la largueur de l'autoroute Bruxelles-Malines-Anvers et un autre pont inutile au-dessus du Canal Albert d Genk ont eu les honneurs d'un commentaire dans le J.T." Comment Jean-Claude Defossé découvre-t-il ces cas intéressants ? - "Plus je m'en occupe, plus j'en trouve. Sans doute parce que j'y pense alors qu'autrefois, je côtoyais ces sites bizarres sans m'en rendre compte". "J'ai trouvé" l'affaire du pont de Genk il y a 5 ans dans un journal. Je suis retourné voir sur place. Rien n'a changé." "Mais à présent, une dynamique s'est créée. Je reçois des lettres de personnes me signalant des travaux superflus." "Toutefois, je n'y donne suite que dans la mesure où il s'agit de réalisations importantes (disons de quelques millions). Je vérifie évidemment les données en me posant la "question de savoir si ce qui apparait inutile aujourd'hui ne sera pas justifié" dans un délai prévisible. Je ne traite donc que des réalisations qui ne servent strictement à rien !" "Il faut préciser que je n'entends pas du tout, dans ces séquences, faire de l'information "poujadiste" . J'ai une trop haute idée, au contraire, du rôle que jouent les pouvoirs publics pour prendre à mon compte les Equations simplistes : public, gaspillage, privé, économie. "Mais un journaliste se doit de garder les yeux ouverts sur ces dépenses qui auraient pu servir à satisfaire des besoins réels, surtout en temps de crise."

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Inédits, la presse socialiste : Le Vooruit et Le peuple Inédits : la presse socialiste le VOORUIT et LE PEUPLE : Cette émission est particulière à plus d'un titre. D'abord contrairement à notre habitude, il ne s'agit pas de films de famille mais de réalisations professionnelles oubliées, rejetées ou "à la dérive". Une sorte de film "orphelin ". Ce programme vous propose également une étonnante page d'histoire de la presse belge à travers une rencontre de deux documents exceptionnels sauvés il y a quelques années à peine.de la destruction. 1. En 1933, le journal gantois "Vooruit" veut accroitre le nombre de ses lecteurs. Attentive aux nouvelles formes d'expression, la direction demande à un cinéaste hollandais de réaliser un film sur la fabrication du journal et son engagement social. Le reportage évoque la crise, les industries gantoises, un discours du père Anseele etc... Un témoignage émouvant sur le combat politique et sa signification dans les années de crise, commenté par l'assistant réalisateur, depuis décédé. Peu d'années après, la guerre éclate. On oublie le film... Le producteur et le journal disparaissent. II faudra attendre plus de cinquante ans pour que des chercheurs retrouvent cette évocation dans les ruines du bâtiment du Vooruit à Gand. 2. De même, dans les années cinquante, la direction du journal "Le Peuple" demande à un cinéaste bruxellois de réaliser un film afin d'accroitre le nombre des lecteurs. Le document évoque la fabrication, l'engagement socio-politique du journal. Du cinéma au sport, des chroniques féminines aux réalisations sociales, le journal affirme son discours militant et exalte les métiers de la presse. Ce film sera sauvé un peu par hasard dans les années septante lors du déménagement du Peuple. Plus personne ne s'en souvenait... Jean-Louis Lhoest et Alphonse Thysman apportent leur temoignage a cette évocation. Depuis, les discours ont sensiblement changés mais la confrontation des deux films sonores nous font découvrir à des époques charnières de notre histoire, le discours et l'activité des deux journaux qui furent dès l'origine .en 1985, les portes paroles officiels du Parti Ouvrier Belge. Une émission conçue et réalisée par André Huet, produite par Daniel Vos.

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Journée internationale de la femme Emission de 2008. A l'occasion de la Journée internationale de la femme le 8 mars, Zoom arrière revisite quelques reportages que la RTB/RTBF a consacrés à ces " Damnées de la terre " qu'étaient (que sont) les ouvrières d'usines. Celles de la FN de Herstal (avec un numéro de 9.000.009 signé André Dartevelle et Michel Stameschkine 13/09/1974) et celles des gaufreries " Champagne " à Moustier sur Sambre (avec autre numéro de 9.000.009 signé André Dartevelle , Alain de Streel et Gérard Corbiau 06/12/1974), toutes en grève au pour améliorer leur condition d'existence. Les invitées : Estelle Krzeslo : qui était sur les barricades de la FN dans les années 70 et dans le reportage diffusé…Aujourd'hui sociologue du travail à l'Université Libre de Bruxelles. Eliane Vogel : juriste internationale féministe, professeur émérite à l'Université Libre de Bruxelles.

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