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Channel: RTBF Vidéo: zoom arrière
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Spéciale Toots Thielemans

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Zoom arrière Emission de 2009. 1984 - Documentaire de Fred Van Besien - Toots'Suite Un chassé-croisé sans temps morts entre New-York et Bruxelles. Une heure de rêve, résultat heureux d'une complicité née spontanément entre le numéro un mondial de l'harmonica et une équipe de la Télévision. Mais voulez-vous en savoir plus ? Place à "TootS ' Suite": - dans les rues de New-York, ou Toots se balade et rencontre des copains musiciens. - dans les studios de la N.B.C ou Toots est 1'invité-vedette du David Letterman Show. - à Long Island dans sa maison de Montauk au bord de l'océan ou, à l'occasion de l'anniversaire de sa femme, Toots a organisé une fête de circonstance. - à New-York encore, où Toots assiste à un enregistrement de Paul Simon. - à Bruxelles, où nous retrouvons Toots à la Grand-Place, à la Foire du Midi, rue Haute, au Marché aux Puces, au Studio de la Madeleine où il enregistre le générique de "Plein Jeu". - et dites-le vous bien, il y aura bien d'autres surprises encore dans "Toots'Suite"... Une émission musicale pas tout à fait comme les autres émissions musicales; une émission -portrait différente du portrait traditionnel. Car "Toots'Suite", c'est avant tout une chaleur communicative. La rencontre avec un homme, qui est une vedette... Mais une vedette... enfin simple, que le moindre son d'harmonica met en joie... ou parfois aussi en larmes.

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Zygomaticorama Emission de 2008 Ce sont des archives tout sourire que " Zoom arrière " vous propose. Une heure de rire avec les meilleurs moments de Zygomaticorama, une émission née en 1977, qui fit connaître et apprécier nombre des grands humoristes actuels, alors inconnus, comme Alex Metayer, Michel Leeb ou Jean Roucas, pour ne citer qu'eux. Autant de révélations pour une émission qui navigue entre caméras cachées, extraits de films et de spectacles, sketches désopilants, invités hors pairs et bien sur Monsieur Zygo Notre invité, Bernard Faure, homme orchestre de Zygo et acteur des caméras cachées commentera pour vous, téléspectateurs, accrocs et moins accrocs, ces moments de notre télévision qui ont fait travailler vos zygomatiques ! Invité(s) : Bernard Faure : homme orchestre de Zygo et acteur des caméras cachées commentera pour vous, téléspectateurs, accrocs et moins accrocs, ces moments de notre télévision qui ont fait travailler vos zygomatiques !

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A suivre - Cuba Emission de 2006. Zoom sur Cuba ce soir, un film tourné en 1979 alors que la révolution castriste avait 20 ans. 20 ans c'est aussi l'âge qu'avait Zoé valdès à cette époque, ecrivain et scénariste exilée à Paris, elle nous parlera de son amour pour son pays dont elle critique le régime castriste et qui transcende tous ses romans. Née le 2 mai 1959, l'année même où Fidel Castro prend le pouvoir. Une date symbolique qui ne sera certainement pas sans lien avec sa future carrière. Elle commentera pour nous l'archive "A suivre - Cuba" réalisée par Guy Lejeune et Michel Caraël en 1979. Ce reportage a été tourné à l'occasion du XXème anniversaire de la révolution cubaine, et il faut savoir que Cuba exerçait une sorte de fascination sur les jeunes adultes reporters et réalisateurs. Ils n'étaient pas seulement attiré par la situation politique mais également par sa culture : Musique, théâtre, peinture, cinéma, danse.. L'ïle de Cuba qui fait beaucoup parler d'elle malgré son isolement du entre autre àl'embargo des Etats Unis...

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Spéciale Etats-Unis Emission de 2008. A l'heure des primaires américaines pour l'élection du prochain président des Etats-Unis en 2008 pour succéder à Georges W. Bush, " Zoom arrière" s'immerge dans les trésors d'archives de la RTBF pour vous proposer un portrait aussi bigarré que nuancé de l'Amérique. Les images du Grand Sam que nous avons collectées sous forme d'enquêtes, de reportages et de documents pendant plusieurs décennies nous ouvrent des portes pour appréhender la réalité américaine d'aujourd'hui en se distançant tout à la fois des mythes dominants et des stéréotypes anti américains. Invité : Jean-Paul Marthoz, journaliste et auteur de nombreux ouvrages sur les Etats-Unis et actuellement directeur éditorial de la revue Enjeux internationaux et chroniqueur au quotidien Le Soir.

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Cannes 68 Emission de 2006. Zoom arrière propose ce soir un document historique. Au mois de mai 1968, le vent de révolte qui souffla sur la France eut vite fait de faire vaciller la croisette cannoise et son fameux festival de cinéma. Nombreux sont les cinéastes qui demandèrent de suspendre le festival, à la fois par solidarité avec la contestation des étudiants et des ouvriers mais aussi pour exprimer leur volonté d'en découdre avec l'esprit de compétition qui y était de mise et avec les règles de l'industrie cinématographique. Dans un esprit très «cinéma vérité », la caméra suit les interventions et débats parfois houleux et le commentaire de Sélim Sasson, dans un ton discret et juste, nous livre juste les informations nécessaires pour laisser entendre la voix des ténors du cinéma qu'étaient et que sont toujours François Truffaut, Jean-Luc Godard, Claude Lelouch, Roman Polanski, Richard Lester, Macha Méryl, Claude Berry ou encore Terence Young ou Monica Vitti. Invités : les cinéastes Benoît Lamy et Vincent Lannoo. Les évènements de mai 68 étaient partis d'une contestation de type libertaire, les étudiants refusaient les valeurs de la morale bourgeoise mais très vite, le mouvement s'étendit aux ouvriers et prit la tonalité d'une révolution sociale et politique. Cette extension du domaine de la lutte explique le climat qui régna sur le festival de Cannes cette année-là et pose des questions qui nous interpellent aujourd'hui plus que jamais. Oui, qu'est-ce qu'un cinéaste ?, Est-ce quelqu'un qui engage son esprit critique dans ses oeuvres et fait preuve de solidarité avec ceux que l'ordre social rejette dans ou hors sa profession ou un conseiller du prince, un fou du roi qui fait le beau et forme une corporation qui a juste la vocation de distraire ?

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Cinéma - interviews cinéastes Emission de 2007. A l'occasion de la sortie de son film « J'aurais voulu être un danseur », Elodie de Selys a reçu sur son canapé l'un des plus célèbres cinéastes belges : Alain Berliner. Bien connu du grand public pour son film « Ma vie en rose » primé à la Quinzaine des réalisateurs en 1997 au festival de Cannes. Mais dans les murs de la RTBF, on ne parle pas de cinéma sans l'homme aux lunettes blanches : Philippe Reynart. Cette semaine, un Zoom Arrière formule spéciale. En effet, il ne s'agit pas d'une archive mais d'une succession d'interviews des réalisateurs fétiches de celui qui voulu être danseur. De 1962 à 1990, ces professionnels nous parlent du cinéma belge. De ses faiblesses, de ses difficultés mais aussi de sa magie. Quand le petit écran parle du grand, on fouille dans les archives et on redécouvre : L'entretien de Federico Fellini avec Dominique Delouche, réalisé par André Delvaux en 1962. Selim Sasson en compagnie de François Truffaut en 1970 dans son carrousel aux images. En 1983, Claude Chabrol interviewé par Fabienne Vander Meerssche. Jean Renoir, en 1969, Claude Lelouch et Tim Burton en 1990 qui nous parlent de la technique cachée derrière l'industrie du rêve. Dans le décor de « Zoom Arrière », Berliner peut enfin voir la vie en rose. Accompagné d'un des monsieurs cinéma de la RTBF, il nous du rôle souvent difficile de critique. De la position délicate entre la promotion et un avis controversé sur un film. 5, 4, 3, 2, 1, ça tourne !

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Au nom de la loi - Allo police "Allo Police" Réalisation et images : Manu Bonmariage Son : Patrick Van Loo Ce film a eu la Mention Spéciale du Festival International de Nyon 1987 en Suisse et le Prix Oecuménique de ce même festival. "Au nom de la loi" programmait sur nos antennes le film de Manu Bonmariage, "Allo police", un film-document qui nous plonge dans 1'univers quotidien du policier. Agents de quartier ou policiers, ce sont des hommes avant tout. Tour à tour psychologues, assistants sociaux ou enquêteurs, ils sont souvent sujets aux attaques de la presse et du public. Si certains commettent des "erreurs", la majorité d'entre eux assurent leur travail du mieux qu'ils peuvent avec les moyens dont ils disposent. Sans eux, le citoyen ne pourrait sans doute pas sortir la nuit et l'on vivrait dans le chaos. Anges gardiens mal aimés ou hommes en butte aux tentations ? La vérité est sans doute entre les deux, là où l'on ne va pas souvent voir et c'est ce qu'a fait Manu Bonmariage ... Synopsis : Manu Bonmariage a suivi pendant plusieurs mois le travail préventif de quelques policiers de Charleroi. "Allo, police ? Pouvez-vous venir ?". Des plaintes, des tapages, des différends entre voisins, des constats d'adultère, des bagarres, des vols, ... Les policiers pratiquent la prévention, essaient "d'arranger les choses" entre les gens. Derrière cette "comédie de moeurs" se profilent la violence, la souffrance, la mort, le vol, le viol, l'adultère, la peur, l'angoisse face à ces "flics" de bonne volonté hébétés de ne pas savoir quel rôle jouer : le psychothérapeute, 1'assistant social, le juge de paix ... Des chiens aboyants, la télé gesticulante, des fleurs en plastique. Eléments omniprésents d'un décor qu'attriste encore un papier peint a grands motifs, les photos de famille accrochées au mur, le sucrier sur la table. La dedans, des gens anonnent de "vagues mots',' pleurent, crient, soliloquent, poursuivent à deux, à trois leurs monologues. On pense à Brel et à "ces gens-là". Témoins de la non communication : les policiers de Charleroi. Ce zoom sur le quart-monde psychologique, ce gros plan, sur la misère mentale: c'est "ALLO POLICE". "Allo Police", un reportage dont on aimerait souvent penser qu'il s'agit d'une fiction pure. Durant 75 minutes (dans son intégralité), une quinzaine de cas défilent, représentant la société et quelques-uns de ses problèmes : l'alcoolisme, le chômage, les femmes battues, les vols, la délinquance, les maris trompés, les enfants abandonnés, le sexe cru, la paranoïa, le suicide. lSi, au départ, le désir du réalisateur était de pénétrer dans une institution qui nous concerne tous : la police, l'importance prise par les protagonistes de ce film a souvent fait passer les policiers au second rang. Pris à témoins de disputes dans certains cas, jouant les Saint-Louis dans d'autres, les assistants sociaux dans d'autres encore, les pères aussi parfois... ils laissent la vedette... au mal être et au mal de vivre.

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Le chemin des écoliers - Le Mali Zoom arrière diffusé en 2005 avec comme archive "le chemin des écoliers" : Nous proposons d'illustrer deux thèmes de reflexion au moyen de programmes qui porteraient sur les notions d'aide et de développement, un regard humain et fraternel dépassant les aspects techniques et documentaires de cette aide. Ces programmes ne viseraient nullement à "décrire" un type d'aide, fut-il parfaitement adapté, mais à s'inquieter des conditions dans lesquelles il est intégré à la société existante, de la manière dont il est vécu par les membres de cette société. II nous semble que ces thèmes seront le mieux abordés par le biais de portraits d'enfants. Ceux-ci, en effet, seront les acteurs conscients ou inconscients des changements qui, dans un futur proche, vont bouleverser la société dans laquelle ils vivent. Ces enfants grandissent à la frontière de deux mondes : - un monde ancien dont les valeurs culturelles, morales et sociales sont soumises à des pressions extérieures. - un monde nouveau qui véhicule des valeurs propres aux sociétés industrielles, des valeurs plus matérialistes que morales. La priorité sera de donner aux enfants du tiers-monde l'éducation et l'instruction nécessaires qui leur permettront de sortir véritablement du sous-développement. Souvent ces enfants sont obligés de travailler dès leur plus jeune âge, que ce soit en milieu agricole, urbain ou industriel. A court terme, l'apport financier, même miinime, sert à assurer la survie de la famille. Mais, à long terme, les enfants participent, bien involontairement aux mécanismes mêmes du sous-developpement : - en augmentant le chômage des adultes - en s'exculant de toute possibilité d'éducation et d'apprentissage d'un véritable métier. Des organismes internationaux, tels que l'UNICEF, ont bien compris l'importance de cette priorité. Ils ont mis en place des projets ponctuels d'éducation. Grâce au biais choisis des portraits d'enfants, les programmes permettront d'en souligner les difficultés rencontrées, les espoirs caressés et les efforts méritoires. L'objet des programmes n'est donc pas de se complaire dans un passéisme nostalgique ni de pleurer sur la disparition du bon sauvage. Le but des programmes n'est pas d'apporter des réponses toutes faites aux problèmes de développement mais, au contraire, de poser des questions difficiles sinon délicates sur la nature même de celui-ci. Toutes les situations décrites, peuvent servir de point de départ à des histoires d'une grande richesse, mêlant la réalité présente à la fiction future. Elles peuvent toutes illustrer le décalage historique existant entre les hommes et l'action menée par les organismes internationaux pour combler peu a peu le fosse qui les sépare. Dans chacune de ces situations, l'accent sera mis sur le personnage central : l'enfant dans sa famille en mutation, ce choix oblige à traiter pratiquement du sauvetage d'hommes en péril, plutot que de developpement théorique de societés technocratiques.

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Vers des rêves impossibles - Famille Roels GRAND DOCUMENT VERS DES REVES IMPOSSIBLES Un film de Chris Vermorcken "Il paraît que l'on écrit bien dans les cafés. Il y a longtemps, j'avais écrit à Jeanne Moreau après avoir vu et revu "La Baie des anges". Chère Mademoiselle Jeanne Moreau.... Je n'ai jamais osé lui envoyer ma lettre. Voilà que vous m'emportez vers des rêves impossibles, disait Mademoiselle Beulemans aux deuxième acte. A présent, les personnages sont dans mon coeuur, il faut les écrire" Danièle Roels "Vers des rêves impossibles", la vie d'une famille d'artistes., la vie de Daniele Roels en particuliers. Chris Vermorcken la rencontre en hiver, place de la Vieille Halle aux Blés, au café Franlou, à Bruxelles. Au fil de leurs rencontres, Daniel apparaît tel un personnage de John Cassavetes pour qui la vie est affaire de sentiments, d'amitié et d'amour. Amour pour son grand père Marcel Roels, comédien.(Le Mariage de Melle Beulemans). Amour pour son père, William Roels, à la fois marin, artiste lyrique et pionnier de la télévision.. Amour pour sa mère Raymonde Roels, danseuse de ballet et ouvreuse de cinéma au Pathé Palace et au Pathé Marivaux sur les grands boulevards. "Maman ouvreuse de cinéma, m'ouvrait les portes du rêve..." Rêve de rencontrer Mademoiselle Jeanne Moreau.... Ce film y aura peut-être contribué... Scénario & réalisation: Chris Vermorcken avec : Danièle Roels Coproduction: Sofidoc, RTBF Liège et le Centre de l'Audiovisuel de Bruxelles (CBA) RTBF Liège (Grand Document) Avec l'aide du Centre du Cinéma et de l'Audiovisuel de la Communauté française de Belgique & des télédistributeurs wallons. Réf.: Gabrielle Davroy - 16/03/2000

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Hommage Ingberg Emission de 2007 "Zoom arrière" rend hommage à Henry Ingberg qui nous a quittés à la fin de ce mois d'octobre. Henry Ingberg était secrétaire général du ministère de la communauté française et il occupait cette fonction de haut commis de l'Etat depuis 1996. Parmi ses responsabilités, ce passionné des arts et de la culture occupait celle de responsable du Service Général de l'Audiovisuel et du centre du Cinéma et de l'audiovisuel. Le 17 mars 2006, Henry Ingberg était l'invité de Zoom arrière et il avait choisi de revoir 3 archives témoignant de sa culture télévisuelle et de son goût pour la culture : un extrait de "Béjart à Moscou", première tournée en URSS des ballets du XXème siècle (1978), un Strip-Tease de 1988 signé Richard Olivier qui nous emmène sur les pas des fans de Claude François, enfin un extrait du spectacle "Comedia" de Carlo Gozzi interprété par Les Baladins du Miroir, une archive de 1995.

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50 ans de Cap 48 Emission de 2007. "Zoom arrière" lève son chapeau devant une grande dame qui fête ses 50 ans : l'opération Cap 48 (anciennement opération 48.81.00). Lancée en septembre 1957 depuis l'immeuble de la RTB place Flagey par un animateur radio, Jean-Claude Menessier, l'opération initialement conçue pour venir en aide aux personnes nécessiteuses, n'a eu de cesse d'étendre ses domaines d'intervention, en particulier en prenant en charge des projets d'institutions pour personnes handicapées physiques et mentales. En collaboration étroite avec la RTB puis avec la RTBF, cette grande campagne de solidarité, baromètre de la générosité des belges, a également pour objectif de faire évoluer le regard du public vis-à-vis des handicapés. 50 ans de vie c'est aussi de nombreuses archives, autant d'images poignantes, émouvantes, sensibles qui déclinent les multiples facettes de l'humain. " Zoom arrière " proposera un kaléidoscope de l'aventure. Les invités de Zoom arrière: Paul Magnette, ministre wallon de la Santé, de l'Action Sociale et de l'Egalité des chances. Michel Lemaire, ancien animateur de 48.81.00. Renaud Tockert : porteur de l'organisation Cap 48.

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Féminin présent Emission de 2007. A l'occasion de la journée internationale de la femme, nous vous proposons de vous souvenir d'un magazine féminin présenté par la RTBF: Féminin Présent. En compagnie de Hafida Bachir, présidente de vie féminine et d'Anne Pochet, directrice de publication du supplément du soir « Victoire », Elodie de Selys débattra de la condition féminine d'hier à aujourd'hui. Pendant plus de quatre ans, de 1968 à 1972, Guy Lejeune parlait aux femmes chaque semaine dans l'émission "féminin présent" son ancètre étant "le miroir d'eve" en 1959. Les sujets traités dans "féminin présent" ont été ensuite repris avec un autre regard dans des programmes qui s'adressaient aux hommes comme aux femmes : "Si vous saviez" et ensuite "Autant savoir" "Féminin présent" ou la Belgique des années 70 revue et corrigée par les femmes. La drogue, les enfants, la haute couture, la coiffure,...une grande variété de thèmes y était abordée. Aujourd'hui, le magazine féminin n'a plus sa place en télévision même si il fait encore couler beaucoup d'encre en presse écrite. Cinq séquences de l'année 1970 ont été choisies pour illustrer le féminisme RTBien : - Un concours miss Belgique interrompu par des manifestations contre la femme objet. - Une interview de Nadine Trintignant. - Une nouvelle loi sur l'électroménager. - Un défilé de manteau de fourrure. - La création d'un magazine : « Mademoiselle âge tendre », pendant féminin de « Salut les copains ». Avec 35 ans de recul, le stéréotype de la femme est-il toujours présent, dans les médias ? C'est l'un des sujets que nous avons débattu sur le plateau en compagnie de ces jeunes femmes impliquées, à leur manière, dans la lutte féministe.

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Mudra Zoom arrière diffusé en 2005 et qui propose un document réalisé par Gérard Lovérius en 1981 consacré à l'école de dans MUDRA. De renommée internationale, l'école MUDRA (qui signifie "geste" en sanskrit) a été créée en 1970 par Maurice Béjart et a formé des danseurs et chorégraphes du monde entier sans oublier nos compatriotes connus bien au-delà de nos frontières tels que : Anna Teresa De Keersmaeker, Michèle-Anne De Mey... Et Michèle Noiret. Michèle Noiret, danseuse et chorégraphe qui sera invitée de Zoom arrière. son travail chorégraphique conjugue rigoureuse maîtrise des corps et imagination inventive. Sa danse invite au voyage et plonge le spectateur dans des dédales étranges et poétiques dans lesquels les danseurs à la présence oblique, presque théâtrale, évoluent avec une extrême précision. Michèle Noiret aime surprendre et se surprendre elle-même en réinventant sans cesse son vocabulaire. L'ouverture des autres disciplines artistiques tels que les nouveaux médias du son et de l'image marquent ses créations. MUDRA : Centre de Perfectionnement et de Recherche des Interprètes du Spectacle, Mudra accueille des jeunes danseurs venus du monde entier. La finalité de Mudra : former des interprètes complets grâce au perfectionnement de leur technique et au contact permanent avec le plus large éventail des moyens d'expression. "Danser, chanter, jouer, s'exprimer avec toutes les potentialités que nous offre le corps, tel est le langage que nous voulons apporter à nos stagiaires", dit Micha Van Hoecke, qui préside désormais aux destinées de Mudra. Un Centre qui, rappelons-le, fut créé par Maurice Béjart et Micha Van Hoecke de poursuivre : "A l'issue de Mudra, ils seront armés pour être les interprètes du Théâtre de demain, plus participatif, plus complet et surtout plus universel, donc enfin contemporain. Mudra est avant tout un endroit de convergence de toutes les races et de toutes les cultures, unies par la danse au-delà des frontières, sans barrières de langue ou de civilisation". Quelque soixante danseurs sont actuellement inscrits à Mudra pour trois années de cours en principe. Au menu des cours : de la danse bien sûr, mais aussi tout ce qui fait et anime le spectacle en soi. Pour ce portrait-reportage, les caméras de Gerard Loverius se sont attardées sur la vie quotidienne du Centre et des étudiants (la plupart des étrangers) qui le fréquentent.

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Cinéma Indien Emission de 2008. Bollywood... le Hollywood indien... nom donné à l'industrie cinématographique de Bombay qui, les dernières années, a emballé et impressionné bien des imaginations dans le monde entier. "Zoom arrière" remonte le temps de l'épopée avec un documentaire de la série Neuf Millions de 1974 intitulé "Cinéma indien, Hollywood de la misère" (réalisation Jérôme Equer). Un temps où l'industrie cinématographique en Inde, quoique la plus importante du monde, n'offrait qu'une production commerciale médiocre. Un temps où un cinéma indien de grande qualité commençait, dans les plus grandes difficultés, à percer. Avec un extrait d'un "Carrousel aux images" de mai 1982 dans lequel Sélim Sasson interroge le cinéaste Mrinal Sen sur son film "Un jour comme un autre". L'industrie cinematrographique en INDE est la plus importante du monde mais n'offre surtout qu'une production commerciale, mediocre, standardisee et assimilable par tous. Invité en plateau : Alok B. Nandi, auteur, réalisateur et designer indien qui partage son temps entre installations interactives, modalités de narration qui mêlent technologie et espace, scénario et écriture. Auteur d'une biographie en photos du grand cinéaste indien Satyajit Ray.

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A suivre - Pousse la nana et mouds l'café Emission de 2007. Zoom arrière propose une archive au parfum de détente et de congé avec un voyage au coeur du club méditerranée et qui plus, au coeur du premier « club med » de l'histoire de cette grande fabrique de vacances, celui de Djerba. Jean Libon et Marco Lamensch, qui travaillaient alors pour le magazine « A Suivre » impriment à cette émission l'esprit de ce qui deviendra par la suite leur série « Strip-Tease » et suivent GM (gentil membre) et GO (gentil organisateur) dans leurs pérégrinations. Une immersion dans un monde de légèreté et d'insouciance où le vacancier dépose son « paquet » à l'entrée pour jouir une semaine ou deux, sans complexe aucun, de joies simples, de plaisirs immédiats et de l'incomparable droit de faire la bête ... Invité : Pierre-André Itin : Directeur de la ligue d'impro pendant 20 ans et aujourd'hui consultant en organisation d'évènements, témoigne en tant que G.O. (gentil organisateur du club Med dans les années 80). II y a "le ciel, le soleil et la mer". II y a les G.M et les G.O (Gentils membres et gentils organisateurs). II y a la musique et les jeux. II y a l'ambiance et la drague. Les vacances en Club Méditerranée, c'est l'image, le temps de deux ou trois semaines de congé, de la "dolce vita" : "sea, sex and sun" sous la houlette infatigable des animateurs qui amusent, entrainent, encadrent les G.M. Au Club Méditerranée, tout commence et tout finit par des chansons : du matin au soir ; de l'accueil a la soirée d'adieux. La bonne humeur, l'entrain, 1'enthousiasme sont de rigueur ; l'ennui, la morosité, la solitude sont hors-la-loi. On fait tout ensemble. Et les G.O y veillent, ponctuant leurs animations de "Est-ce que vous êtes tous là ce soir ?","je veux vous voir sourire" etc. On joue, on s'amuse, on se défoule, on se débranche. On s'offre, comme le dit un G.M., "le plaisir d'être bête au moindre risque". On est un fan, ou l'on n'y revient pas. Marco Lamensch et Jean Libon ont installé leur camera pendant deux semaines au milieu du plus ancien village du Club : "Djerba la Fidèle". Pendant deux semaines, ils ont vécu au rythme des G.O et des G.M. Ils ont suivi, écouté, interroge les uns et les autres. Ils nous proposent ce soir de découvrir Ces images - portrait de la vie d'un village du club.

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Faits divers - Pour Sainte Cécile Emission de 2005 Elodie reçoit Luc Dardenne, réalisateur et scénariste et Déborah François, actrice de "L'enfant". Pour ses 10.000 habitants, la petite ville de Pâturages (à une dizaine de kilomètres de Mons) ne compte pas moins de trois fanfares et de trois chorales. C'est dire si, dans ce coin du Borinage, les traditions musicales sont demeurées vivaces, en dépit des bouleversements sociaux et économiques des vingt dernières années. Pierre Manuel et Jean-Jacques Péché ont choisi Pâturages -et particulièrement la célébration de la Sainte-Cecile dans cette ville. Pourquoi ? Parce qu'il leur a paru intéressant d'essayer de saisir à travers une manifestation "folklorique" heureuse, l'esprit d'un lieu et de gens particulièrement défavorisés. C'est, une atmosphère qu' il s' agissait avant de rendre. L'occasion en était le banquet de la Sainte-Cecile qui a réuni le 8 décembre (avec 16 jours de retard sur la fête proprement dite) la chorale « 'L'Amitié du Peuple- de Pâturages » et son doyen Florent Laurent, âgé de 95 ans. Pendant toute la journée, deux caméras ont suivi les membres de la chorale. Elles les ont vus accueillir leur vénérable membre, qui a quitté pour un jour le home où il passe ses vieux jours. Elles ont filmés le banquet qui a suivi, ainsi qu'une extraordinaire prestation musicale : Florent Laurent, quoique devenu sourd-muet avec l'âge, a dirigé personnellement « L'Amitié du Peuple ». Bref, pendant tout un dimanche, on a bu, on a chanté, on a ri; et pour une journée, une région mourante a retrouvé la vie.

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Entretien avec Hugues Le Paige Emission de 2006. Avec la diffusion de nombreux extraits de ses documentaires et des sujets qu'il a réalisés pour le Journal Télévisé, c'est à Hugues Le Paige que sera consacrée cette émission de Zoom arrière. Hugues Le Paige travailla entre 1970 et 1990 comme journaliste à la Rtbf, notamment comme correspondant du JT et du JP à Paris et à Rome. Il devint ensuite et jusqu'à son départ de la Rtbf en 2005, auteur-producteur au département documentaires de la Rtbf. Hugues Le paige est également l'auteur de nombreux ouvrages, citons parmi bien d'autres "Mitterand 1965-1995, la continuité paradoxale" (Editions de l'Aube), "Une minute de silence" (Labor 1997) où il défend une "certaine" idée du service public de la télévision, "Vive la politique" (Labor 2003) ainsi que "Télévision et civilisations" en collaboration avec Dominique Wolton. Un de ses derniers documentaires "Il fare politica" (Chroniques de la Toscane Rouge 1982-2004) a obtenu (outre nombreuses distinctions internationales) le prix SCAM (Société des Auteurs Multimédias) du film engagé au Panorama du Documentaire belge (2004-2005) et le Prix Henri Storck(2005). Faut-il préciser que la réflexion de Hugues Le Paige s'articule toute entière autour de la question politique et la notion d'information que Zoom arrière suivra dans cette réflexion ?

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Hommage à Philippe Luthers Emission de 2008. Il nous a quitté fin 2007 en laissant un vide et un chagrin amer à tous ceux qui l'ont connu, apprécié et aimé. Philippe Luthers était âgé de 52 ans et avait fait toute sa carrière à la RTBF. Présentateur successivement de Coeur et pique, de Vidéogam (avec Jean-Pierre Hautier), de Marmots, de La Chanson du siècle, il passa ensuite de l'autre côté de la caméra pour produire Tour de chance, les spectacles de l'humoriste François Pirette et des Frères Taloche. Il fut une des chevilles ouvrières du festival de la chanson de Spa qui deviendra par après Les Francofolies de Spa. Depuis 2003, il était un des responsables du divertissement de la télévision publique. Pour commenter les images souvenirs et les témoignages émus de quelques collègues et artistes qui l'ont fréquenté, son frère Thierry Luthers, sera l'invité de Zoom arrière. La Rtbf et particulièrement le service divertissement lui doivent beaucoup. Pendant plus de 30 ans il vous a amusés, fait chanter ou rire devant ou derrière la caméra. Il était donc tout naturel de rendre hommage à Philippe Luthers. Nous allons revoir bon nombre des artistes qu'il a pu recevoir, une foule d'archives d'émissions qui ont fait la grande époque du divertissement à la Rtbf.

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Focus Frédéric François Emission de 2008 Hommage à Frédéric -dit "Freddy"- François, journaliste qui a révolutionné l'information à la RTBF en tendant le micro aux hommes politiques, jusque là protégés par les conférences de presse ex-caethedra et les dépêches d'agence. Grand reporter également, il a fait découvrir un Congo fraîchement indépendant. De Mitterand à Mobutu, du 16 rue de la Loi à la Guerre du Golfe, retours sur ce parcours exceptionnel qui a influencé le journalisme d'aujourd'hui. Dérangeant, insistant, pince-sans-rire, Freddy François n'a rien perdu de son piquant sur le plateau de Zoom Arrière. Invité : Frédéric François : journaliste

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Cargo de Nuit Emission de 2006. Au sommaire de l'émission, notamment : Le mensuel ROCK THIS TOWN propose une sélection des 100 meilleurs albums de musique rock, sélectionnés par une cinquantaine de professionnels belges. Avis de Pierre ARNOULD journaliste qui travaille pour ce mensuel, et de Philippe KOPP qui a organisé le sondage. Le hit-parade des meilleurs albums de tous les temps (classement demeuré quasi inchangé depuis lors ! ) les interviews d'Isabelle Pousseur, à l'aube d'une remarquable carrière de metteur en scène; de Benoît Quersin, jazzman et grande voix de la radio, mentor de toute une génération d'esprits libres; ainsi qu'une interview musclée d'un groupe alors presqu'inconnu en Europe : les Red Hot Chili Peppers ! Cerise sur le gâteau, le générique de l'émission y est interprété par l'orchestre symphonique de la RTBF. Cette émission phare de la télévision des eighties, caractérisée par sa programmation "tête chercheuse" hors des sentiers institutionnels a fait école : Intérieur nuit, Hep taxi en sont les héritiers. Pour l'anecdote, un magazine anglais avait dressé le hit-parade des meilleures émissions rock non anglosaxonnes. Cargo de nuit y figurait en deuxième position, juste derrière la française « Rapido », produite par... Yves Bigot, alors Directeur des Antennes !
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